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Congregação das Irmãs de São José de Chambéry | Commissions Internationales

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    24 de Jun, 2018

    PROJARI, une expérience de communication constructrice de paix

     L’Association de Bienfaisance Sao José des Sœurs de Saint Joseph, à travers le Projet PROJARI, commencé il y a vingt ans à Guaïba, ville de l’Etat du Rio Grande du Sud au Brésil, a renforcé sa mission de “Vies au service de la Vie pour l’unité dans la diversité”, ayant comme référence « la formation intégrale de l’être humain dans l’exercice de la citoyenneté, le partage des savoirs et le développement de toutes ses potentialités »

    Pour affronter le contexte actuel de violence la stratégie de PROJ ARI requiert que tous les participants adoptent un style de vie non violent. Beaucoup de personnes agissant pacifiquement déclencheront un mouvement de non-violence. Les personnes impliquées font chaque jour un exercice de relations de tendresse au lieu d’attitudes agressives.
    Les éducateurs de PROJARI ont adopté comme règle de comprendre les réactions des participants aux 24 ateliers dans les domaines sportif, culturel, danse et de participation productive. Toute activité technique est précédée d’un tour de dialogue, où les problématiques personnelles apparaissent.

    Un des aspects importants de l’activité PROJARI est l’attention au parcours et à l’histoire personnelle et à la réalité familiale. On recherche à valoriser et à promouvoir le bon qui est en chaque être humain. Dans la mesure où le positif est mis en valeur, l’action fait apparaître les potentialités de chaque être humain.

    La devise de PROJARI est: "Nous sommes importants et nous présence réalise une différence”. Ce qui signifie que « parce que nous réalisons une différence nous sommes importants". Ce chemin méthodologique marque les actions à tel point que sur la façade de l’immeuble se trouve écrite en italiques l’inscription : "Vie et paix, tel est notre engagement".
    Les faits rapportés par les forces de sécurité sont encourageants. La police civile de Guaïba révèle que dans le quartier de Bom Fim où se trouve le centre du projet et dans la ville les cas d’assassinats et les actes de violence ont diminué. Ce fut le premier impact social de cette méthode de travail.

    Au-delà des pratiques internes, l’entité et les participants prennent part aux activités entreprises par les habitants du lieu et les marquent. Un exemple est celui de leur participation à la Campagne « Zéro violence, 100% de tendresse ».

    La communication créatrice d’une atmosphère de paix et de tolérance montre des signes de son efficacité, parce que des attitudes pacifiques se manifestent dans toute l’ambiance sociale d’intervention et pas seulement dans le cadre institutionnel.

    Elton Bozzetto, journaliste

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